Vies de squelettes

Ils méri­tent bien une chronique ces mal­heureux squelettes, authen­tiques ou non, dont on se sert tous azimuts pour illus­tr­er l’anatomie humaine ou faire de l’hu­mour plus ou moins noir. Les trois derniers que j’ai ren­con­trés étaient en effet plutôt mal­menés. Le pre­mier, par­tie inté­grante des rêves d’un ivrogne dans une pièce de théâtre, a per­du une jambe sur scène; depuis, il est uni­jam­biste (la vis qui tenait le mem­bre reste introu­vable). Le sec­ond, util­isé didac­tique­ment sur un stand dédié aux médecines naturelles, s’est vu sim­ple­ment plié et four­ré sans ménage­ment dans un cabas Migros à la fin de la journée de vente. Et le dernier, pau­vre hère, dépas­sait d’un car­ton libel­lé… “Alt­pa­pi­er

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