Souvenirs de Bâle

Un équilib­riste en fer forgé plane au-dessus d’une mai­son bap­tisée “Teufel­hof”. En pleine rue, une colonne Mor­ris cou­verte d’af­fich­es s’ou­vre soudain et un homme en sort: dedans, il y a un escalier en col­i­maçon. L’hô­tel de ville est rouge, peint et sculp­té jusque dans ses moin­dres recoins de vis­ages, de feuil­lages et d’an­i­maux, dont des homards. A l’en­trée des toi­lettes de la Skulp­turhalle, une antique stat­ue grecque lève sa robe. Le sapin de Noël offi­ciel se pare de guir­lan­des scin­til­lantes découpées dans de vieux CD. Devant une bou­tique, un renne en plas­tique grandeur nature a des leck­er­li dans l’or­eille. La ville de Bâle ressem­ble à un poème surréaliste!

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