Le Grittibänz

Le pre­mier “Grit­tibänz” de la sai­son, il n’a pas fait long feu. A peine sor­tie du mag­a­sin, je lui ai d’abord cro­qué les jambes, puis les bras, puis le torse, et enfin la tête. Il n’a pas bronché, restant stoïque jusqu’à la fin. Depuis l’en­fance, j’adore sa sil­hou­ette rebondie, sa chair moelleuse, son goût un peu sucré… Un délice. Pas ques­tion de can­ni­bal­isme cepen­dant. Le “Grit­tibänz”, c’est sim­ple­ment un bon­homme en pâte, avec des yeux de raisins secs. En schwytzertütch.

Les commentaires sont fermés.